Je suis de retour avec mes dernières aventures. Excusez-moi si vous avez dû attendre aussi longtemps pour avoir de mes nouvelles, mais ma maîtresse était très occupée avec l'ordinateur - à ce qu'elle m'a dit, mais quelquefois j'en doute. Donc, je ne pouvais pas prendre sa place un moment pour écrire tout ça. Ne lui dites pas ça car elle pourrait se fâcher après moi. J'espère que je n'ai rien oublié de ma vie depuis une année.
Au mois de septembre 2002, j'ai dû me rendre chez le vétérinaire. Eh oui, encore une fois, j'ai été obligée de supporter d'être enfermée dans ma cage pendant quelques minutes et de devoir affronter une fois de plus le bruit de ce véhicule qui me transporte, une voiture à ce qu'on m'a dit. Le gentil vétérinaire - enfin ça dépend de quel point de vue on se place - m'a fait mes vaccins annuels. Comme je me grattais de temps en temps sur le cou, il a dit à ma maîtresse de me donner des autres croquettes à manger. Je ne les aimais pas ou plutôt je ne les supportais. Une semaine après mon contrôle - et mes vaccins - j'ai commencé à être malade. Je ne sais pas ce que j'avais, mais ma maîtresse en avait assez de devoir nettoyer chaque fois que je vomissais. Dans un sens je la comprends, mais ce n'est quand même pas de ma faute. Elle a alors téléphoné à mon vétérinaire qui m'a donné des médicaments pour ne plus vomir, mais ça n'a pas marché. Je ne sais pas comment c'est arrivé, mais au mois de novembre je me sentais déjà mieux. Au mois d'avril 2003, j'ai dû encore me faire nettoyer les dents chez le vétérinaire. J'ai décidé d'être une gentille fille et j'ai rien dit en rentrant à la maison. Autant le chauffeur de la voiture - que je ne connais pas d'ailleurs - que ma maîtresse étaient surpris. Je sais aussi me taire des fois, mais pas toujours. Au mois de juin, j'avais encore des petits problèmes lorsque j'allais au petit coin. Ma maîtresse m'a encore donné des médicaments, puis ça a été mieux. Beurk! J'en ai assez des médicaments. Il faut absolument que je dise ça à ma maîtresse. Maintenant je vais bien. Je n'ai rien dit à ma maîtresse, mais je suspecte que dans quelque temps elle va de nouveau m'emmener chez le vétérinaire pour mes vaccins. J'ai entendu quand elle a dit à sa maman qu'elle devait voir pour prendre un rendez-vous pour bientôt. Aie, si je pouvais disparaître dans un trou de souris, je le ferais, mais bon, je vais être sage, je ne veux pas qu'elle sache que je sais.
Cet été, j'ai beaucoup profité du soleil et de la chaleur sur la véranda. Ma maîtresse m'a dit qu'il faisait trop chaud, mais comme j'aime la chaleur, je reste au chaud le matin. Je vous avouerais honnêtement que ces dernières semaines je ne restais quand même pas toute la matinée sur la table de la véranda car c'était malgré tout trop chaud pour moi. Ma maîtresse n'a pas remarqué que pour moi aussi c'était trop chaud. Toutefois, j'aime mieux quand il fait plus frais, là, je me défoule et ne manque pas l'occasion de faire une petite course dans l'appartement.
Ma maîtresse est toujours très gentille avec moi et je dois avouer que j'admire sa patience, car ça m'arrive toujours de vomir de temps en temps. Quelquefois elle s'énerve un peu, mais ça passe vite. Je suppose que lorsqu'elle se fâche c'est qu'elle doit être nerveuse ou peut-être fatiguée. Il faut avouer qu'elle dort moins que moi. Par contre, j'aime bien l'embêter quand elle met ses pieds trop près de moi la nuit, surtout ces temps où elle ne se couvre pas. Elle me gronde un petit peu puis elle déplace ses pieds et elle se rendort - moi aussi. J'aime bien venir à côté d'elle avant qu'elle se lève car elle me caresse et me fait des câlins. J'aime bien ces moments-là, mais tout a une fin et ma maîtresse fini par se lever. Quelquefois, quand elle arrange le lit, elle me donne des bisous. J'aime pas trop ça, mais je me laisse faire, si cela lui fait plaisir. Comme ça on est toutes les deux heureuses. Je continue de manifester ma joie d'être avec ma maîtresse - je ronronne toujours autant et elle est contente. C'est ça le bonheur d'être chat. L'autre jour ma maîtresse m'a dit que j'avais de la chance car il y a beaucoup de chats qui ne sont pas aussi heureux que moi et des chats battus par leurs maîtres. Ca existe des gens comme ça? C'est honteux, car nous ne sommes pas des monstres, mais nous ne demandons qu'à avoir des câlins - et à manger, bien entendu.
Voilà ce qu'a été ma vie cette dernière année. Il n'y a pas grand chose à dire, mais bon, j'aime bien vous tenir au courant de ce qui se passe chez nous. En tout cas pour moi, car je ne parle pas de tout ce que fait ma maîtresse, ça n'intéresserait pas grand monde. D'ailleurs j'essaie moi-même d'ignorer ce qu'elle fait, mais ce n'est pas toujours facile. Enfin bref, c'est une brave fille ma maîtresse, comme moi.
Je vous retrouverai dans une année pour la suite de mes aventures, si je peux utiliser l'ordinateur. A bientôt vous tous, mes amis chats - et vous, leurs maîtres.
Au mois de septembre 2002, j'ai dû me rendre chez le vétérinaire. Eh oui, encore une fois, j'ai été obligée de supporter d'être enfermée dans ma cage pendant quelques minutes et de devoir affronter une fois de plus le bruit de ce véhicule qui me transporte, une voiture à ce qu'on m'a dit. Le gentil vétérinaire - enfin ça dépend de quel point de vue on se place - m'a fait mes vaccins annuels. Comme je me grattais de temps en temps sur le cou, il a dit à ma maîtresse de me donner des autres croquettes à manger. Je ne les aimais pas ou plutôt je ne les supportais. Une semaine après mon contrôle - et mes vaccins - j'ai commencé à être malade. Je ne sais pas ce que j'avais, mais ma maîtresse en avait assez de devoir nettoyer chaque fois que je vomissais. Dans un sens je la comprends, mais ce n'est quand même pas de ma faute. Elle a alors téléphoné à mon vétérinaire qui m'a donné des médicaments pour ne plus vomir, mais ça n'a pas marché. Je ne sais pas comment c'est arrivé, mais au mois de novembre je me sentais déjà mieux. Au mois d'avril 2003, j'ai dû encore me faire nettoyer les dents chez le vétérinaire. J'ai décidé d'être une gentille fille et j'ai rien dit en rentrant à la maison. Autant le chauffeur de la voiture - que je ne connais pas d'ailleurs - que ma maîtresse étaient surpris. Je sais aussi me taire des fois, mais pas toujours. Au mois de juin, j'avais encore des petits problèmes lorsque j'allais au petit coin. Ma maîtresse m'a encore donné des médicaments, puis ça a été mieux. Beurk! J'en ai assez des médicaments. Il faut absolument que je dise ça à ma maîtresse. Maintenant je vais bien. Je n'ai rien dit à ma maîtresse, mais je suspecte que dans quelque temps elle va de nouveau m'emmener chez le vétérinaire pour mes vaccins. J'ai entendu quand elle a dit à sa maman qu'elle devait voir pour prendre un rendez-vous pour bientôt. Aie, si je pouvais disparaître dans un trou de souris, je le ferais, mais bon, je vais être sage, je ne veux pas qu'elle sache que je sais.
Cet été, j'ai beaucoup profité du soleil et de la chaleur sur la véranda. Ma maîtresse m'a dit qu'il faisait trop chaud, mais comme j'aime la chaleur, je reste au chaud le matin. Je vous avouerais honnêtement que ces dernières semaines je ne restais quand même pas toute la matinée sur la table de la véranda car c'était malgré tout trop chaud pour moi. Ma maîtresse n'a pas remarqué que pour moi aussi c'était trop chaud. Toutefois, j'aime mieux quand il fait plus frais, là, je me défoule et ne manque pas l'occasion de faire une petite course dans l'appartement.
Ma maîtresse est toujours très gentille avec moi et je dois avouer que j'admire sa patience, car ça m'arrive toujours de vomir de temps en temps. Quelquefois elle s'énerve un peu, mais ça passe vite. Je suppose que lorsqu'elle se fâche c'est qu'elle doit être nerveuse ou peut-être fatiguée. Il faut avouer qu'elle dort moins que moi. Par contre, j'aime bien l'embêter quand elle met ses pieds trop près de moi la nuit, surtout ces temps où elle ne se couvre pas. Elle me gronde un petit peu puis elle déplace ses pieds et elle se rendort - moi aussi. J'aime bien venir à côté d'elle avant qu'elle se lève car elle me caresse et me fait des câlins. J'aime bien ces moments-là, mais tout a une fin et ma maîtresse fini par se lever. Quelquefois, quand elle arrange le lit, elle me donne des bisous. J'aime pas trop ça, mais je me laisse faire, si cela lui fait plaisir. Comme ça on est toutes les deux heureuses. Je continue de manifester ma joie d'être avec ma maîtresse - je ronronne toujours autant et elle est contente. C'est ça le bonheur d'être chat. L'autre jour ma maîtresse m'a dit que j'avais de la chance car il y a beaucoup de chats qui ne sont pas aussi heureux que moi et des chats battus par leurs maîtres. Ca existe des gens comme ça? C'est honteux, car nous ne sommes pas des monstres, mais nous ne demandons qu'à avoir des câlins - et à manger, bien entendu.
Voilà ce qu'a été ma vie cette dernière année. Il n'y a pas grand chose à dire, mais bon, j'aime bien vous tenir au courant de ce qui se passe chez nous. En tout cas pour moi, car je ne parle pas de tout ce que fait ma maîtresse, ça n'intéresserait pas grand monde. D'ailleurs j'essaie moi-même d'ignorer ce qu'elle fait, mais ce n'est pas toujours facile. Enfin bref, c'est une brave fille ma maîtresse, comme moi.
Je vous retrouverai dans une année pour la suite de mes aventures, si je peux utiliser l'ordinateur. A bientôt vous tous, mes amis chats - et vous, leurs maîtres.